jeudi 27 janvier 2011
Philippe Muray utilise beaucoup l'italique pour faire ressortir des mots importants dans son argumentation. Ainsi lorsqu'il parle, dès sa préface, de jeunes du faubourg Saint-Antoine anti-lepénistes, je cite, "tous comme il se doit artistes, créateurs de mode, gens de communication, organisateurs de vide-greniers et de dîners de rue,". Cela rend ses articles particulièrement vif et drôle.
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