jeudi 5 octobre 2017
Avec la nouvelle de Tolstoï "Le maître et le serviteur" j'ai passé une nuit dans une terrible tempête de neige dans un traîneau tiré par un cheval "Belle-Face". Après avoir tourné en rond, complètement perdu, j'ai du m'arrêter pour attendre le jour. Seul le serviteur survivra protégé par son maître couché sur lui, il n'aura que quelques doigts gelés. Je ne me suis jamais senti comme cela au cœur d'un récit. Au cœur de cette Russie éternelle que mon grand-père m'a fait aimé.
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