samedi 25 novembre 2017
Comme Claude Eveno et beaucoup d'autres je suis un promeneur amoureux de Paris. Je me souviens de la Place du Tertre, déserte, le matin de bonne heure avant l'arrivée des hordes de touristes. Touristes qui admireront les mochetés proposées par les marchands du temple au lieu d'essayer de sentir la beauté du lieu. Et surtout de la Place du Calvaire mitoyenne qui avait encore un caractère rural. J'habitais à l'époque rue Chappe, rue parallèle au funiculaire et aux escaliers montant au Sacré-Cœur, avec vue sur la Tour Eiffel...
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