Pour en finir avec Biarritz cette gravure ancienne du musée d'histoire locale présentant la plage du Port-Vieux abritée avec au fond, déjà, l’établissement de bains - qui n'a pas changé - mais on a construit partout! C'est ici que Biarritz est devenu la cité balnéaire que l'on connaît.
jeudi 31 octobre 2019
mercredi 30 octobre 2019
Biarritz c'est le surf. Les débutants sont capables d'attendre longtemps la vague qui leur permettra de faire une belle figure. Tout va très vite. On tombe lourdement puis on recommence.
Tout le monde arrive avec sa planche. Les enfants, les jeunes, les femmes et même les mamans comme sur cette photo... En l'espace de quelques minutes j'ai fait une dizaine de photos...
Tout le monde arrive avec sa planche. Les enfants, les jeunes, les femmes et même les mamans comme sur cette photo... En l'espace de quelques minutes j'ai fait une dizaine de photos...
mardi 29 octobre 2019
De retour de Biarritz - 15 jours - ville impeccable où tout est fait pour le "touriste". J'ai fait beaucoup de photos le soir, le matin, par beau temps, par temps couvert, une mer agitée avec de magnifiques rouleaux pour les surfeurs, par mer calme pour les nageurs. J'ai envie de mettre en avant les tamaris qui donnent ce charme fou à la ville.
Ils sont présents tout le long de la côte. En alignement, dans les jardins abritant les hortensias, tordus par le vent, noueux. En premier plan, ils permettent de faire des photos réussies à coup sûr! Une belle découverte.
Ils sont présents tout le long de la côte. En alignement, dans les jardins abritant les hortensias, tordus par le vent, noueux. En premier plan, ils permettent de faire des photos réussies à coup sûr! Une belle découverte.
mardi 15 octobre 2019
lundi 14 octobre 2019
dimanche 13 octobre 2019
samedi 12 octobre 2019
Concert "Mélomania". "Cantares"- Airs et mélodies de l'Andalousie à l'Argentine avec au piano Antoine de Grolée et au chant Emmanuelle Dijon (soprano). Deux habitués. Trois mélodies de Manuel de Falla - seul compositeur dont je connaissais le nom. Des pièces pour piano de Granados. Des compositeurs du XXe siècle d'Amérique du sud. Toujours de la qualité mais l'espagnol chanté ne m'a pas vraiment touché. D'ailleurs pour la première fois le public était un peu clairsemé... IL n'y a plus l'ambiance créée par Alain Kremski. Je crois que c'est fatal.
vendredi 11 octobre 2019
Olivier Gourmet dans "Ceux qui travaillent" de Antoine Russbach en cadre arrivé à la force du poignet dans une compagnie suisse de transport maritime est saisissant de justesse. La concurrence terrible dans ce transport de containers à travers le monde finira par lui faire perdre sa place. Un choc pour quelqu'un qui n'a jamais fait que travailler. Il n'avait pas vraiment envie de retourner se battre - toujours dans des conditions rudes, à la limite de la légalité. Mais comment assurer le train de vie - le bonheur matériel - à ses cinq enfants et sa femme ? Un film dur. Les seuls moments de répit sont avec sa plus jeune fille - à la maison ou lorsqu'il va lui montrer un port avec ces containers qui transportent tout et rien à travers le monde. Et ce toujours plus vite pour des coûts moindres...
jeudi 10 octobre 2019
Je viens de trouver le tome II de "Auschwitz et après" (Une connaissance inutile) de Charlotte Delbo. Je le cherchais depuis longtemps. Déportée à Auschwitz-Birkenau elle parle de son transfert - en train, pas de "marche de la mort" comme d'autres- à Ravensbruck en alternant de petits récits incisifs avec des poèmes d'amour. Puis l'attente interminable de la libération.
Et pendant cette lecture un nazi allemand tirait sur une synagogue à Halle, le jour de Yom Kippour, faisant deux morts.
On ne peux être qu'horrifié.
Et pendant cette lecture un nazi allemand tirait sur une synagogue à Halle, le jour de Yom Kippour, faisant deux morts.
On ne peux être qu'horrifié.
mardi 8 octobre 2019
"Le Chemin des dames" de Pierre Miquel explique en détail comment en 1917 le pouvoir politique a voulu prendre la main sur le pouvoir militaire en nommant Général en chef Nivelle pour mener une offensive décisive et mettre fin à la guerre. Ensuite comment, en raison des faiblesses Françaises, le désastre que chacun connaît est arrivé et surtout comment les allemands avaient fortifié - casemates bétonnées - ces monts dominant les vallées. Un ensemble devenu imprenable. Enfin comment le rêve de Nivelle a pris fin et fut écarté - par ce même pouvoir politique - au profit de la ligne Pétain.
Lecture passionnante sur les rivalités des uns et des autres pour imposer leurs hommes ou leurs vues pendant que les allemands prévenus d'une attaque se préparaient...
Lecture passionnante sur les rivalités des uns et des autres pour imposer leurs hommes ou leurs vues pendant que les allemands prévenus d'une attaque se préparaient...
lundi 7 octobre 2019
Hier je parlais du Val-de-Grâce, c'est une exposition de photos prises par Raymond Depardon pendant son service militaire (1962-1963) qui m'a attiré en ce lieu dont je ne soupçonnais pas la Beauté -au sens du XVIIe .
Photos exposées sur les murs du cloître du couvent. La dentelle de buis centrale a été reconstituée selon les plans de l'époque. Espérons que ce travail, que j'aime, ne sera pas ruiné par la maladie des buis.
Du coup je ne parle plus des photos de Depardon...
Photos exposées sur les murs du cloître du couvent. La dentelle de buis centrale a été reconstituée selon les plans de l'époque. Espérons que ce travail, que j'aime, ne sera pas ruiné par la maladie des buis.
Du coup je ne parle plus des photos de Depardon...
dimanche 6 octobre 2019
Visite du Musée du Service de Santé des Armées du Val-de-Grâce. Un ensemble restaurée d'une manière remarquable. Anne d'Autriche, mariée à Louis XIII, en décida la construction à la naissance de Louis XIV bien que la première pierre fut posée en 1624.
Je fus sidéré en entrant dans l'église. Somptueuse, bien entretenue. Un voyage au cœur du classicisme Français -plans de Mansart, voûte de Le Muet, fresque de Mignard.
Au dessous de la Coupole un Maître-Autel - unique en France - inspiré de celui de Bernin à Saint-Pierre de Rome avec une crèche en marbre blanc - Joseph, Marie et Jésus. Des "Philippe de Champaigne".
Un dallage d'époque - fleurs de Lys, avec les chiffres AL.
Je fus sidéré en entrant dans l'église. Somptueuse, bien entretenue. Un voyage au cœur du classicisme Français -plans de Mansart, voûte de Le Muet, fresque de Mignard.
Au dessous de la Coupole un Maître-Autel - unique en France - inspiré de celui de Bernin à Saint-Pierre de Rome avec une crèche en marbre blanc - Joseph, Marie et Jésus. Des "Philippe de Champaigne".
Un dallage d'époque - fleurs de Lys, avec les chiffres AL.
samedi 5 octobre 2019
Olivier Meys avec "Les fleurs amères" a réalisé un premier film au scénario solide : Lina du nord-est de la Chine- jouée par "Xi Qi"- jeune chinoise, mariée, un garçon de dix ans s'est laissée convaincre qu'elle peut "gagner plus" à Paris en gardant, par exemple, les enfants d'une famille "Wenzhou" - chinois bien établis avec une immigration ancienne. Les Wenzhou méprisent ces femmes seules, souvent sans papiers, venues du nord de la Chine (des Dongbei). Ils les paient le moins possible pour un travail harassant...Où l'on voit Lina chercher désespéramment un travail... Après un essai infructueux la seule solution pour s'en sortir - rembourser les dettes - est de se prostituer sur les trottoirs parisiens. Une chinoise, en la prenant sous son aile, l'aidera à supporter cette situation. Les circonstances lui permettront de rentrer en Chine...
Très beau film, ni documentaire, ni fiction pure. Je dirais du "cinéma-vérité" dans la façon de filmer les mouvements dans les rues, la lumière. Et de filmer ces personnes avec empathie.
Lina avec Yumei "la copine"(interprétée par Wang Xi) - pour rendre compte du travail du directeur de la photographie.
Très beau film, ni documentaire, ni fiction pure. Je dirais du "cinéma-vérité" dans la façon de filmer les mouvements dans les rues, la lumière. Et de filmer ces personnes avec empathie.
Lina avec Yumei "la copine"(interprétée par Wang Xi) - pour rendre compte du travail du directeur de la photographie.
vendredi 4 octobre 2019
Emprunté "Les Rêveries du promeneur solitaire" de Rousseau que j'ai envie de lire. Livre que Alice, dans le film vu il y a deux jours, offre à son maire vieillissant et désabusé... Tout de suite Luchini - le maire - lit avec le génie que l'on connaît le début de la Première Rêverie: Me voici donc seul sur la terre, n'ayant plus de frère, de prochain, d'ami, de société que moi-même. Le plus sociable et le plus aimant des humains en a été proscrit par un accord unanime. Ils ont cherché dans les raffinements de leur haine quel tourment pouvait être le plus cruel à mon âme sensible, et ils ont brisé violemment tous les liens qui m'attachaient à eux. J'aurais aimé les hommes en dépit d'eux-mêmes. etc... Texte correspondant à sa situation puisqu'il renoncera à se présenter à la présidentielle et finira simplement son mandat de maire.
jeudi 3 octobre 2019
"Attaque au couteau" en plein cœur de la Préfecture de Police par un agent administratif. Il a tué quatre de ses collègues policiers avant d'être abattu. Attentat islamiste ou pas ? Les TV en continu en discutaillent... Pour moi le doute n'est pas permis. Une fois de plus Castaner le Sanguinaire -Ministre de l'Intérieur-n'a pas été à la hauteur...
mercredi 2 octobre 2019
Dans "Alice et le maire" de Nicolas Pariser Fabrice Luchini interprète un maire socialiste de Lyon - sans idée, déprimé alors que son cabinet et sa directrice de cabinet (formidable Léonie Simaga) le pousse à être candidat à la prochaine élection présidentielle. Il fait alors appel à une jeune universitaire - Anaîs Demoustiers - pour le remotiver. Sans fonction précise une relation pleine de scepticisme sur la Politique s'installe entre eux alors que le petit monde des "conseillers" s'agitent, grenouillent dans un entre-soi savoureux, complètement déconnecté. Le nouveau Monde que d'aucuns cherchent à nous vendre ne vaut pas plus cher que l'ancien... Un très grand film politique sur notre époque comme je n'en ai pas vu souvent.
mardi 1 octobre 2019
Célébrations du 70e anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine présidées par Xi Jinping Place Tiananmen.
En ouverture de la parade militaire les trois drapeaux - celui du Parti Communiste, celui de la République Populaire de Chine et le troisième celui de l'APL (Armée Populaire de Libération) - véritable état dans l'état.Plutôt qu'une photo du président Xi en costume Mao prononçant son discours -... Rien ne peut ébranler les fondations de notre grande nation. Rien ne peut empêcher la nation et le peuple chinois d’aller de l’avant...- je préfère une photo de ces jolies femmes soldats défilant impeccablement.
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