Carte de voeux pour l'année du tigre envoyée par ma nièce chinoise "Dan Dan".

lundi 6 août 2012

"Guilty of romance" de Sion Sono. Une femme mariée (interprétée par Megumi Kagurazaka) , belle, encore jeune, elle va avoir trente ans. Son mari, célèbre écrivain, part tous les matins à 7 heures pour rentrer à 21 heures. Ses chaussons doivent être bien placés devant la porte quand il rentre. Le thé doit être prêt, parfait. Il ne parle pas, il lit. On se couche, on dort... Et ainsi les jours se répètent, les chaussons devant la porte, qu'il suffit de retourner, attendent... Un jour elle décide de travailler. Les rencontres se succèdent. Elle est très belle on lui propose de faire le mannequin pour des séries de photos. Puis on se retrouve dans le quartier des "love hotel"...et là toute la violence du sexe exacerbé explose comme souvent dans ce genre de film japonais. Une violence toute japonaise, on retrouve les grands films japonais des années 70. Une violence extrême dans un milieu glauque, malsain. Une violence qui ne peut déboucher que sur la mort. Ce film constitue le dernier volet de la "trilogie de la haine" du metteur en scène. Note provenant de Wikipédia : Les love hotels (ラブホテル) sont, au Japon, des hôtels pour couples que l’on peut réserver à l’heure ou à la nuit. Peuvent également servir à la prostitution.En 2010, le Japon compterait 7 200 love hotels, dont seule la moitié serait officiellement déclarée, les autres étant enregistrés comme simples hôtels.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire