mercredi 28 novembre 2012
Fini la lecture - commencée cet été - du "Grand Voyage" de Jorge Semprún. Les dernières pages, où il raconte l'arrivée au camp de Buchenwald, sont bouleversantes. Les SS, les chiens, les projecteurs, la neige, le froid, les cris "los,los,los",les plus faibles qui tombent... On a l'impression de "connaître" mais on ne peut l'admettre.
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