Poursuite de la lecture des chroniques de Philippe Muray. Sa créativité est terrible lorsqu'il vitupère contre les bavardages de ministres, les organisateurs de "festivités" en particulier à l'approche de l'an 2000 où finalement tout le monde s'en fichait "comme de l'an quarante" [sic]. Je ris souvent aux néologismes qu'il aime créer.
Citation trouvée sur Internet qui résume bien sa pensée:
« Je n'ai pas cherché à donner un tableau de notre société. J'ai fait l'analyse de l'éloge qui en est fait. »
lundi 15 décembre 2014
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