Le clown de l’Élysée a réussi à se mettre à dos une bonne partie de la "gauche". Journée classique de grèves et manifestations contre la réforme du code du travail.
Photo prise rue du Faubourg Saint-Antoine au carrefour avec la rue Claude Tillier où je passe si souvent... Circulation bloquée sous une pluie battante.
jeudi 31 mars 2016
mercredi 30 mars 2016
Le débat malsain et souvent nauséabond sur "la déchéance de nationalité pour les terroristes" aura duré quatre mois. Seul le clown triste de l’Élysée pouvait avoir une telle idée; il y a mis fin aujourd'hui. Le personnel politique français ne s'en sort pas grandi... J'ai toujours su, heureusement, que cela ne se ferait pas. Quatre mois de perdu...
mardi 29 mars 2016
Balade avec le "Club des Amis" le long de la Seine de Sartrouville à la gare du Vésinet-Le Pecq (autour de 8kms). Chemin bien aménagé à Sartrouville, un peu plus "sauvage" à Montesson. Un beau ciel d'éclaircies. Des envols de cygnes. Quelques péniches. Et une belle averse en arrivant à la gare RER...
Du côté de Montesson. On distingue au loin la Grande Terrasse de Saint-Germain créée par Le Nôtre à la demande de Louis XIV.
Du côté de Montesson. On distingue au loin la Grande Terrasse de Saint-Germain créée par Le Nôtre à la demande de Louis XIV.
lundi 28 mars 2016
Lundi de Pâques très pluvieux. Des orages de grêle comme jamais.
Relevé dans le journal de la Mairie du XIe : "Budget participatif - Faire vivre la démocratie et la citoyenneté - Semaine du développement durable et fête du vélo - Une épicerie sociale et solidaire dans le 11e - Un territoire attractif et innovant, etc..." Que cache tout ce charabia ? Il faudra me l'expliquer.
Relevé dans le journal de la Mairie du XIe : "Budget participatif - Faire vivre la démocratie et la citoyenneté - Semaine du développement durable et fête du vélo - Une épicerie sociale et solidaire dans le 11e - Un territoire attractif et innovant, etc..." Que cache tout ce charabia ? Il faudra me l'expliquer.
dimanche 27 mars 2016
"Kaili Blues" de Bi Gan, encore un film chinois encensé par la critique - sans doute à juste titre en raison de sa beauté et de la maîtrise dont fait preuve ce jeune cinéaste.
Tourné avec des acteurs non professionnels à Kaili (Province du Guizhou)- petit village de Chine du Sud en plein pays Miao dont est originaire ce jeune réalisateur plein d'avenir. Film loué pour son très long plan final où un oncle recherche son neveu abandonné par son père. Auparavant c'est la vie des deux frères - bien différents qui ne s'entendent pas vraiment - qui est présentée dans ce pays brumeux où il pleut beaucoup et souvent(climat subtropical).
L'oncle qui part à la recherche de son neveu Weiwei est médecin après avoir fait de la prison pour son passé de "truand". Son frère vivote comme il peut et ne s'intéresse pas à son fils alors que la mère est morte. Cet oncle aurait voulu s'en occuper.
Tourné avec des acteurs non professionnels à Kaili (Province du Guizhou)- petit village de Chine du Sud en plein pays Miao dont est originaire ce jeune réalisateur plein d'avenir. Film loué pour son très long plan final où un oncle recherche son neveu abandonné par son père. Auparavant c'est la vie des deux frères - bien différents qui ne s'entendent pas vraiment - qui est présentée dans ce pays brumeux où il pleut beaucoup et souvent(climat subtropical).
L'oncle qui part à la recherche de son neveu Weiwei est médecin après avoir fait de la prison pour son passé de "truand". Son frère vivote comme il peut et ne s'intéresse pas à son fils alors que la mère est morte. Cet oncle aurait voulu s'en occuper.
samedi 26 mars 2016
Cela fait plusieurs années que je voulais inviter deux anciennes collègues... Tout arrive.
Bon moment avec un déjeuner chinois : rouleaux de printemps puis des raviolis très réussis. Fromages, un délicieux gâteau de Dalloyau apporté par Florence et Bernard. Champagne, vin de Bordeaux. On a parlé de tout et de rien comme j'aime. Tout le monde était content. Nous avons passé, quand même, de nombreuses heures ensemble avec beaucoup de plaisir le plus souvent.
Bon moment avec un déjeuner chinois : rouleaux de printemps puis des raviolis très réussis. Fromages, un délicieux gâteau de Dalloyau apporté par Florence et Bernard. Champagne, vin de Bordeaux. On a parlé de tout et de rien comme j'aime. Tout le monde était content. Nous avons passé, quand même, de nombreuses heures ensemble avec beaucoup de plaisir le plus souvent.
vendredi 25 mars 2016
Vu hier à la TV Malek Boutih, député PS plein de bon sens, protester contre l'attitude compassionnelle - une fausse compassion bien sûr - de nos dirigeants politiques à chaque attentat.
Voilà une partie de ses déclarations que je partage depuis longtemps.
«Je dis les choses avec force et solennité: ça suffit les minutes de silence comme simple bilan politique. On n'arrête pas d'enchaîner des minutes de silence et, trois jours après, on retourne dans nos petites polémiques qui n'ont aucun intérêt. Si le gouvernement et les membres du Parlement ne se mettent pas au travail pour lutter contre les ghettos, les Molenbeek qu'il y a chez nous, contre les fractures, on va vers des lendemains très difficiles (...) En face, on a des gens qui essaient de nous détruire. Il est temps de comprendre qu'on est dans une autre dimension».
La pire étant sans contexte la Maire de Paris, même si le clown triste de l’Élysée n'est pas mal...
Voilà une partie de ses déclarations que je partage depuis longtemps.
«Je dis les choses avec force et solennité: ça suffit les minutes de silence comme simple bilan politique. On n'arrête pas d'enchaîner des minutes de silence et, trois jours après, on retourne dans nos petites polémiques qui n'ont aucun intérêt. Si le gouvernement et les membres du Parlement ne se mettent pas au travail pour lutter contre les ghettos, les Molenbeek qu'il y a chez nous, contre les fractures, on va vers des lendemains très difficiles (...) En face, on a des gens qui essaient de nous détruire. Il est temps de comprendre qu'on est dans une autre dimension».
La pire étant sans contexte la Maire de Paris, même si le clown triste de l’Élysée n'est pas mal...
jeudi 24 mars 2016
La Fondation Custodia à l'Hôtel Turgot a encore réalisé avec "Dessins néerlandais de paysage" une belle exposition. Là on peut admirer une centaine d’œuvres collectionnées par John et Marine van Vlissngen (sur les 1700 de leur collection). Il s'agit de dessins hollandais et flamands du XVIe au XIXe siècle. Paysages, marines, vues italianisantes comme on les aimait m'ont enchanté. Ceux du XVIe sont formidables.
Ces paysages - canaux gelés, moulins, saules têtards, canards, vues d'Utrecht, d'Amsterdam, une simple auberge de campagne, etc... - me donnent envie d'aller encore passer quelques jours dans ces pays que j'aime.
Ferme dans un paysage boisé (entre 1600-1625) de Jan Brueghel l'Ancien.
Ces paysages - canaux gelés, moulins, saules têtards, canards, vues d'Utrecht, d'Amsterdam, une simple auberge de campagne, etc... - me donnent envie d'aller encore passer quelques jours dans ces pays que j'aime.
Ferme dans un paysage boisé (entre 1600-1625) de Jan Brueghel l'Ancien.
mercredi 23 mars 2016
Les attentats islamistes d'hier à Bruxelles m'ont tout de suite fait penser à la Place de Broukère, si bien chantée par Jacques Brel, que je traversais deux fois par jour pour rentrer à l'hôtel (il y a deux ans à Noël).
Je ne sais pourquoi...
"...C'était au temps où Bruxelles chantait
C'était au temps où Bruxelles bruxellait
Place de Broukère on voyait des vitrines
Avec des hommes des femmes en crinoline
Place de Broukère on voyait l'omnibus
Avec des femmes des messieurs en gibus..."etc...
Le "Bruxelles" de Dick Annegarn que les radios passent est tout aussi très bon et d'actualité et je vais le graver dans mon prochain CD.
"...Tu vas me revoir Mademoiselle Bruxelles
Mais je ne serai plus tel que tu m'as connu
Je serai abattu courbatu combattu
Mais je serai venu
Bruxelles attends, j'arrive..."
J'aime Bruxelles et ses habitants, une ville qui ne ressemble à rien et que j'ai su apprécier. J'aime aussi les Flandres (Bruges, Gand et Anvers) et les flamands.
Je ne sais pourquoi...
"...C'était au temps où Bruxelles chantait
C'était au temps où Bruxelles bruxellait
Place de Broukère on voyait des vitrines
Avec des hommes des femmes en crinoline
Place de Broukère on voyait l'omnibus
Avec des femmes des messieurs en gibus..."etc...
Le "Bruxelles" de Dick Annegarn que les radios passent est tout aussi très bon et d'actualité et je vais le graver dans mon prochain CD.
"...Tu vas me revoir Mademoiselle Bruxelles
Mais je ne serai plus tel que tu m'as connu
Je serai abattu courbatu combattu
Mais je serai venu
Bruxelles attends, j'arrive..."
J'aime Bruxelles et ses habitants, une ville qui ne ressemble à rien et que j'ai su apprécier. J'aime aussi les Flandres (Bruges, Gand et Anvers) et les flamands.
mardi 22 mars 2016
Un vieux, de mon âge très certainement, parle du Mouvement du 22-Mars à la guichetière de la Caisse d’Épargne. Elle ne semble pas savoir que ce mouvement est à l'origine des "événements de Mai 68". Pour faire son malin ce vieux parle aussi de Geismar et Sauvageot, je l'ai repris pour lui rappeler que seul Cohn-Bendit en était - génial initiateur et fondateur de ce mouvement. Je m'en souviens très bien.
Et quand l'Université de Nanterre s'en prend à Cohn-Bendit, une belle et première manifestation se dirige vers la Sorbonne le vendredi 3 mai 1968. C'est le début des "événements de Mai 68". Je m'en souviens très bien aussi...
Et quand l'Université de Nanterre s'en prend à Cohn-Bendit, une belle et première manifestation se dirige vers la Sorbonne le vendredi 3 mai 1968. C'est le début des "événements de Mai 68". Je m'en souviens très bien aussi...
dimanche 20 mars 2016
Magnifique "Fatima". Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un tel film sur la société française d'aujourd'hui telle qu'elle est (ni bobos, ni homosexuels, pas de crise existentielle, pas de parisianisme).
Une mère d'origine algérienne, portant le voile pour sortir, ne parlant pas français, abandonnée par son mari doit élever seule ses deux filles ne parlant pas arabe, vivant comme des jeunes filles de leur âge, refusant de porter le voile. L’aînée vient d'avoir le bac, réussira sa première année de médecine à force de volonté, de travail et du sacrifice de sa mère qui se tuera à faire des ménages. La cadette en troisième, en pleine crise d'adolescence et d'identité est violemment en conflit avec sa mère et le collège.
Film de la réalité française, tournée en banlieue lyonnaise, d'une grande justesse de ton et d'observation. Film linéaire, sans fioriture avec trois actrices remarquables. Philippe Faucon a réalisé là un petit chef d’œuvre. Film aux multiples récompenses bien méritées.
Une mère d'origine algérienne, portant le voile pour sortir, ne parlant pas français, abandonnée par son mari doit élever seule ses deux filles ne parlant pas arabe, vivant comme des jeunes filles de leur âge, refusant de porter le voile. L’aînée vient d'avoir le bac, réussira sa première année de médecine à force de volonté, de travail et du sacrifice de sa mère qui se tuera à faire des ménages. La cadette en troisième, en pleine crise d'adolescence et d'identité est violemment en conflit avec sa mère et le collège.
Film de la réalité française, tournée en banlieue lyonnaise, d'une grande justesse de ton et d'observation. Film linéaire, sans fioriture avec trois actrices remarquables. Philippe Faucon a réalisé là un petit chef d’œuvre. Film aux multiples récompenses bien méritées.
samedi 19 mars 2016
Quel est le thème sous-jacent de ce blog ?
Très certainement le temps qui passe. C'est évidemment le propre de tous les journaux tenus par tout un chacun et beaucoup d'écrivains. Le journal de Jules Renard est un régal.... Finalement le temps constitue la matière des écrits d'écrivains aussi différents que Régis Debray, Philippe Sollers, Philippe Muray, Jean d'Ormesson, Georges Perec, Annie Ernaux,etc... J'aime de plus en plus la lecture de ces écrivains.
"Chacun pleure à sa façon le temps qui passe."(Voyage au bout de la nuit -1932)
Très certainement le temps qui passe. C'est évidemment le propre de tous les journaux tenus par tout un chacun et beaucoup d'écrivains. Le journal de Jules Renard est un régal.... Finalement le temps constitue la matière des écrits d'écrivains aussi différents que Régis Debray, Philippe Sollers, Philippe Muray, Jean d'Ormesson, Georges Perec, Annie Ernaux,etc... J'aime de plus en plus la lecture de ces écrivains.
"Chacun pleure à sa façon le temps qui passe."(Voyage au bout de la nuit -1932)
vendredi 18 mars 2016
Pourquoi tant de photos, le plus souvent personnelles, dans ce blog ? La réponse n'est pas facile. J'aime lire les photos, elles montrent beaucoup sur les choses et encore plus sur les gens. Je recherche, évidemment, à capter l’instant présent qui est condamné à disparaître. Depuis ses débuts, la photographie a accompagné l'histoire, qui me passionne, d'une manière irremplaçable. J'ai de nombreuses photos gravées dans ma mémoire qui surgissent souvent.
Par ailleurs je trouve les photos numériques de bonne qualité et si facile d'utilisation.
Par ailleurs je trouve les photos numériques de bonne qualité et si facile d'utilisation.
jeudi 17 mars 2016
Les manifestations des lycéens et étudiants d'aujourd'hui montrent une France éclatée, en morceaux avec des ghettos de riches - les habitants du XVIe ont vulgairement manifesté contre l'implantation d'un centre d’accueil de SDF- Montreuil deuxième ville malienne du monde, des jeunes rejetés du "système éducatif" de plus en plus inégalitaire, des bidonvilles, des fonctionnaires privilégiés, etc... On manifeste donc pour demander le retrait d'une loi qui pourrait améliorer le sort de ceux dans la difficulté. C'est ça la France !De ma fenêtre : des "anarchistes" s'en prennent à une banque au coin de la rue des Boulets
mercredi 16 mars 2016
Pas facile d'écrire quelques phrases sur "The Assassin" (chinois traditionnel : 刺客聶隱娘 ; pinyin : cìkè niè yǐnniáng) du taïwanais Hou Hsia-hsien, film de sabre encensé par la critique ( magique, merveilleux, beauté des paysages,etc...).
Yianning - rôle tenu par la jolie Shu Qi - formée aux arts martiaux doit tuer son propre cousin prince entouré d'une Cour nombreuse et somptueuse. Elle n'aura pas la force d'y parvenir. L'action, lente et mélancolique, se déroule dans dans la Chine des Tang.
Des décors, des paysages d'une grande beauté, de grands acteurs, un bon scénario mais cela ne me touche pas vraiment.
Yianning - rôle tenu par la jolie Shu Qi - formée aux arts martiaux doit tuer son propre cousin prince entouré d'une Cour nombreuse et somptueuse. Elle n'aura pas la force d'y parvenir. L'action, lente et mélancolique, se déroule dans dans la Chine des Tang.
Des décors, des paysages d'une grande beauté, de grands acteurs, un bon scénario mais cela ne me touche pas vraiment.
mardi 15 mars 2016
dimanche 13 mars 2016
samedi 12 mars 2016
Concert exceptionnel dans le cadre de Mélomania (Mairie du 4ème)avec l'orchestre à cordes "Orchestre de Chambre Nouvelle Europe" dirigé par Nicolas Krauze, un chef plein d'entrain et de talent. Orchestre formé de musiciens faisant de grandes carrières internationales avec de solides solistes. Concert autour de Tchaïkovski - si ce n'est pour commencer un concerto de Bach pour piano ( soliste Julia Riabova) et orchestre à cordes. Sinon en création deux pièces pour orchestre à cordes du compositeur russe Léonid Bobylev, professeur au conservatoire Tchaïkovski de Moscou- présent.
Et pour finir une sérénade pour orchestre à cordes de Tchaïkovski enthousiasmante magnifiquement interprétée dans la joie par les musiciens.
Le chef Nicolas Krauze avec le compositeur Léonid Bobylev.
Et pour finir une sérénade pour orchestre à cordes de Tchaïkovski enthousiasmante magnifiquement interprétée dans la joie par les musiciens.
Le chef Nicolas Krauze avec le compositeur Léonid Bobylev.
vendredi 11 mars 2016
Le réalisateur Robert Bober, écrivain ami de Perec - juif polonais présent ainsi que le Denis Cuniot compositeur de la musique du film - a réalisé avec "En remontant la rue Vilin"un excellent travail sur la mémoire à partir des nombreux écrits de Georges Perec revenu très souvent sur les lieux, en particulier devant le salon de coiffure pour dames tenu par sa mère (Coiffure Dame).
Il a su nous expliquer l’œuvre de Perec par le prisme de sa judéité. En particulier avec la lettre "e" disparue dans le livre "La disparition" et son écriture hébraïque qui correspond au graphisme de la forme de la rue Vilin vue d'en haut.
Cette soirée m'a donné envie de lire encore et encore Perec. "Les choses" m'avaient, comme des milliers de lecteurs, enthousiasmé.
jeudi 10 mars 2016
J'ai dans ma chambre une magnifique photo de la rue Vilin achetée à Henri Guérard qui fut photographiée par tous les grands photographes humanistes des années 60. Beaucoup de films y furent tournés. Elle était unique. Sa partie supérieure où Georges Perec vécut ses six premières années au 24 disparut lors de la création du Parc de Belleville en 1988. La vue du haut de la rue Piat reste une des plus belles de Paris.
Pour toutes ces raisons - disparition du vieux Paris, Georges Perec, les photos - je ne voulais pas rater la projection, à la bibliothèque Marguerite Duras (20ème), du film documentaire de Robert Bober (1992) "En remontant la rue Vilin" qui retrace, à l'aide de photographies anciennes, la destruction progressive de ce cadre du Paris ancien.
Pour toutes ces raisons - disparition du vieux Paris, Georges Perec, les photos - je ne voulais pas rater la projection, à la bibliothèque Marguerite Duras (20ème), du film documentaire de Robert Bober (1992) "En remontant la rue Vilin" qui retrace, à l'aide de photographies anciennes, la destruction progressive de ce cadre du Paris ancien.
mercredi 9 mars 2016
Le clown triste de l’Élysée a, en quatre ans, réussi à mécontenter toute la "gauche institutionnelle". Toutes les groupuscules de cette "gauche", CGT en tête, défilent de République à Nation par le Boulevard Voltaire. "Une bien belle manif" - il y avait du monde. Cortège bien fourni grâce aux lycéens et étudiants venus en nombre.
Et maintenant ? Encore plus d'un an à attendre. Quoi ? Sans doute une fin de règne de plus en plus pitoyable dans un climat encore plus exécrable.
Et maintenant ? Encore plus d'un an à attendre. Quoi ? Sans doute une fin de règne de plus en plus pitoyable dans un climat encore plus exécrable.
mardi 8 mars 2016
lundi 7 mars 2016
dimanche 6 mars 2016
Je voulais voir ce que savaient faire Benoît Delépine et Gustave Kervern, je n'avais pas pu voir leurs films précédents, en particulier "Mammouth" avec Depardieu. Et bien avec "Saint-Amour" je suis resté sur ma faim dans ce road-movie où un éleveur -Gérard Depardieu énorme - et son fils - un Benoît Poelvoorde pas très drôle - font le tour des vignobles de France en commençant par celui de Saint-Amour. Beaucoup de promotion pour ce petit film, un peu lourd, qui sera bien bien vite oublié.
samedi 5 mars 2016
Saint-Malo c'est aussi un port de commerce - importation de bois des pays nordiques et d'engrais en vrac, comme sur la photo ci-dessous. Cela me fait plaisir de voir un peu d'activité portuaire... De plus en plus les ports sont transformés en port de plaisance d'une grande tristesse avec tous ces bateaux de riches alignés et immobiles...
vendredi 4 mars 2016
Très beau séjour à Saint-Malo, ville natale de François-René de Chateaubriand. Notre première journée nous a amené au Grand Bé sur sa tombe. Impossible de parler de tous les malouins célèbres...
Le grand écrivain, comme une plaque l'indique, a voulu être inhumé en face de cette mer de manière à n'écouter que son bruit et celui du vent - très fort, comme en ce jour de beau soleil.
Photo classique prise au soleil couchant du môle de Saint-Malo. J'aime cette ambiance entre ciel, terre et mer.
Le grand écrivain, comme une plaque l'indique, a voulu être inhumé en face de cette mer de manière à n'écouter que son bruit et celui du vent - très fort, comme en ce jour de beau soleil.
Photo classique prise au soleil couchant du môle de Saint-Malo. J'aime cette ambiance entre ciel, terre et mer.
jeudi 3 mars 2016
Magnifique Saint-Malo. Cinq jours de bonheur à contempler sans cesse la "mer". Une mer majestueuse, agitée, verte dans un cadre incroyable - une unité de lieu comme il y en a peu. J'ai essayé, avec mes photos, de capter la lumière, unique, changeante, intense.
Vue sur le Fort National (génial Vauban!) le 2 mars 2016.
Vue sur le Fort National (génial Vauban!) le 2 mars 2016.
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