Benoît Jacquot, après Renoir (1946)et Bunuel (1964), s'attaque au "Journal d'une femme de chambre" (d'après le roman d’Octave Mirbeau qui, en son temps, fit scandale). Peinture sociale féroce montrant comment la domesticité était traitée dans des familles de possédant - en fait de rentiers et d’héritiers. Intrigue proche du roman avec le vol de l'argenterie de "Madame" par l'homme à tout faire et la femme de chambre. Ils iront s'établir à Cherbourg en reprenant un petit café.
Il me restait des images terribles des deux réalisations que je viens de citer. Bunuel avait réussi a crée un climat incroyable, en particulier dans la débauche des maîtres.
Léa Seydoux dans le rôle de Célestine est convaincante et s'en tire bien, Vincent London dans le rôle du jardinier-cocher est impressionnant.
dimanche 3 mai 2015
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