Je vieillis, je vieillis et comme Paul Léautaud je ne m'y fais pas. Il parle de la crise de la cinquantaine comme personne et longuement.
Il faut lire son Journal. Un régal. C'est comme une petite musique. Il se plaint du coût de la vie, de son incapacité à s'acheter une "pèlerine" qui lui convient, de sa fatigue, etc...
Oui, je vieillis disais-je, aujourd'hui on m'a proposé une place assise dans le métro... Ce n’était pas la première fois.
mardi 15 novembre 2016
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