Promenade rue Debelleyme. La "gentrification" - terme nouveau, il y a quelques jours on disait encore boboïsation - progresse. Les beaux hôtels particuliers sont investis les uns après les autres par des galeries d'art. Reste encore un atelier comme il y en avait tant dans les cours du Marais. Pour combien de temps ?
On finit à la Galerie Perrotin avec une grande exposition Takashi Murakami - plasticien japonais qui a eu l'honneur d'investir le Château de Versailles. Il doit aimer l'argent... Rien ne se dégage de cet ensemble, finalement, assez vulgaire ... C'est lisse, c'est propre, c'est acrylique.
De petits humains - d'après Jean Clair, académicien, historien de l'art dénonçant les dérives de l'art contemporain : « L’art contemporain est à l’image de la société : décadent » - regardent sans éprouver aucun sentiment.
vendredi 30 septembre 2016
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire